Les sept notes d’une gamme portent des noms qui diffèrent selon langues et cultures.
Ce qui ne change jamais c’est qu’elles ont une position : premier degré, second degré, troisième degré etc. jusqu’au septième (« SI » par exemple pour la gamme en « DO »). Nous nous positionnons par rapport à la gamme « diatonique », plus connue comme étant une suite ainsi nommée : do-ré-mi-fa-sol-la-si-do.
C’est sur les noms et positions de ces degrés que nous travaillons, car ils sont générés par phénomène physique (harmoniques).
Nous insistons sur le terme diatonique car c’est ce qui caractérise le système tonal depuis Bach jusqu’à nos jours et est donc profondément implanté dans « l’oreille » de la majorité des personnes auxquelles s’adressent les Musycalides.
La musique étant un langage universel le répertoire des ateliers est très large et le chant grégorien peut côtoyer le jazz aussi bien que Mozart.